On pourrait croire qu’il y a une malédiction Zelensky. Ballotté dans un tourbillon de vents contraires, il en sort toujours dans la mauvaise direction, celle, néfaste, de la gloire lointaine et fumeuse que lui promettent ses sponsors et conseillers, et non celle, réaliste, que lui dictent les rapports de force. Et, confronté aux catastrophes, il compte sur ses capacités de comédien pour rejeter la faute sur les autres et se dédouaner par des pirouettes, comme la chauve-souris de la fable : je suis oiseau, voyez mes ailes ; je suis souris, vive les rats.